Le chant des sirènes

Chanson de Frero Delavega.

 

                                                    

 

 

Paroles

 

Enfants des parcs, gamins des plages
Le vent menace les châteaux de sable façonnés de mes doigts
Le temps n’épargne personne hélas
Les années passent, l’écho s’évade sur la Dune du Pilat
Au gré des saisons, des photomatons,
Je m’abandonne à ces lueurs d’autrefois
Au gré des saisons, des décisions, je m’abandonne

Quand les souvenirs s’en mêlent, les larmes me viennent,
Et le chant des sirènes me replonge en hiver
Oh mélancolie cruelle, harmonie fluette, euphorie solitaire

Tadalalala, tadalalala
Tadalalala, tadalala

Combien de farces, combien de frasques
Combien de traces, combien de masques
Avons-nous laissé là-bas
Poser les armes, prendre le large
Trouver le calme dans ce vacarme avant que je ne m’y noie
Au gré des saisons, des photomatons,
Je m’abandonne à ces lueurs d’autrefois
Au gré des saisons, des décisions, je m’abandonne

Quand les souvenirs s’en mêlent, les larmes me viennent,
Et le chant des sirènes me replonge en hiver
Oh mélancolie cruelle, harmonie fluette, euphorie solitaire

Oh,Oh,Oh,Oh …

Quand les souvenirs s’en mêlent, les larmes me viennent,
Et le chant des sirènes me replonge en hiver
Oh mélancolie cruelle, harmonie fluette, euphorie solitaire

Quand les souvenirs s’en mêlent, les larmes me viennent,
Et le chant des sirènes me replonge en hiver
Oh mélancolie cruelle, harmonie fluette, euphorie solitaire

Tadalalala, tadalalala
Tadalalala, tadalala

 

 

 

Par une classe de CM2 (B.17).  L’enregistrement a été fait juste après l’apprentissage. C’est un travail d’enfants avec tout ce que cela comporte… Je vous le livre tel quel.

 

 

 

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